Je remercie Marcel Banner, directeur du Laboratoire de Physique Nucléaire et des
Hautes Energies de Paris, de m'avoir acueilli dans cet établissement
où l'ambiance est
très motivante et les conditions de travail particulièrement sympathiques.
Je remercie sincèrement Monique Rivoal, ma directrice de thèse, pour son soutien
constant au cours de ces trois années d'agréable labeur. Sa compétence, sa
disponibilité et sa gentillesse ont été tout à fait essentielles au bon
déroulement de cette "aventure". Elle m'a permis de découvrir que les
développements
techniques sont souvent passionnant mais m'a aussi encouragé à réfléchir sur
les aspects théoriques de notre domaine de recherche. Cette invitation à la
pluridisciplinarité m'a enthousiasmé.
Je remercie tous les membres du groupe CAT du LPNHE avec lesquels j'ai eu
plaisir à collaborer. Roger George, en particulier, a été d'une grande patience
face à mes
premiers pas dans l'astronomie gamma et Jean-Paul Tavernet m'a fait
découvrir avec toute sa pédagogie les ubuesques programmes d'analyse du CERN .
Je remercie Bernard Degrange, Patrick Fleury et l'ensemble des physiciens et
astronomes de la collaboration CAT.
D'abord parce qu'ils ont réalisé le plus beau télescope du monde (au moins),
qui a été l'une des "stars" de l'année, mais aussi pour la façon dont ils
m'ont intégré au microcosme de l'astrophysique des hautes énergies.
Je remercie Madame Laberrigue-Frolow, Hélène Briand, Michel Baubillier,
Murat Boratav, Jacques Chauveau, Christian de la Vaissière, François Vannucci
et tous ceux qui m'ont
aidé à pouvoir m'adonner à cet exercice que j'aime tant: l'enseignement et
la communication scientifique.
Je remercie tout spécialement Philippe Roy pour les contacts amicaux que nous
avons eu et les précieux conseils qu'il a bien voulu me prodiguer.
Je remercie Pierre Bareyre et Daniel Vignaud d'avoir immédiatement accepté
la tâche de rapporteur ainsi que Pierre Aguer et Gérard Sajot
de participer à mon jury. Leurs remarques et corrections ont été essentielles
à l'aboutissement de la rédaction de cette thèse.
J'exprime toute ma reconnaissance à Audoin Dollfus et Jean-François
Cavaignac qui, il y a plusieurs années, ont confirmé, à mes yeux, toute la
beauté de la physique en m'aidant à découvrir la réalité
de la recherche dans les deux domaines qui ont depuis ma préférence:
l'astrophysique et l'étude des particules élémentaires.
Je remercie Alexandre Marcowith pour les nombreuses discussions que nous avons eues
sur
la modélisation des processus d'accélération et d'émission dans les
noyaux actifs de galaxies. Son approche de théoricien qui ne renie pas les
difficultés expérimentale m'a beaucoup appris.
Je remercie Hélène Sol pour la bienveillance avec laquelle elle s'est
interessée à ma démarche.
Je remercie également mon oncle, Claude Nuridsany, et son épouse Marie qui ont toujours été pour
moi un exemple. Non seulement parce qu'ils m'ont initié à la démarche scientifique,
mais aussi parce que leur attitude humble face à la nature et humaniste face au savoir
est si reconfortante et si rare.
Je remercie mon ami Sam Shafaghat pour l'intransigeance avec laquelle il m'a
révélé une autre vision de la physique et pour l'intensité quasi-jouissive
avec laquelle nous avons parcouru ensemble notre cours de mécanique
quantique.
Je remercie mes parents pour tant d'affection et d'attentions. Pour tous les details
qui, au fil des ans, décident du devenir d'un être.
Je remercie Cécile, ma super puce-astronomette avec qui je
partage une passion pour la physique, une attirance réelle pour l'art et la
poésie, un goût marqué pour les gros gâteaux au chocolat... mais surtout
une grande complicité.
Enfin, je remercie la galaxie active Mrk501 d'avoir eu l'excellente idée de choisir cette période de thèse pour augmenter son émission gamma dans de telles proportions!