Rémi Adam

Thèse de 2012 à 2015.

Etude des amas de galaxies avec l'expérience NIKA, via l'effet Sunyaev-Zeldovich et étude des effets systématiques liés à la polarisation dans Planck-HFI.

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Georges Barbier

Ingénieur informaticien. A rejoint le projet en 1999 pour élaborer la partie du logiciel embarqué du SCE en rapport avec la communication sur le bus avionique (1553). A participé à la mise en place, à la définition et au suivi du logiciel embarqué jusqu'à son départ en retraite en 2006.

Dominique Bondoux

Ingénieur mécanicien. A rejoint le projet en 2004. Responsable de la réalisation mécanique des boitiers électroniques SCE, a également défini les procédures de qualification vibratoire de ces boîtiers et participé aux tests correspondants.

Olivier Bourrion

Ingénieur électronicien. A travaillé entre 2002 et 2004 sur la partie numérique de la carte de la DCE ainsi que sur les tests et interfaces de tests. Les commandes se font par FPGA (Field Programmable Gate Array ou circuit intégré programmable) qui est moins contraignant, en particulier pour une utilisation spatiale, qu’un DPU (Data Processing Unit ou Unité de traitement des données) et suffisant pour les fonctions de commande de cette électronique.

Joël Bouvier

Ingénieur électronicien. A travaillé de 1999 à 2003 sur la partie numérique de l’électronique du SCE (Christophe Vescovi assurait la partie analogique). Développement du prototype et du FPGA. Participation ponctuelle aux tests unitaires sur le code embarqué du SCE écrit en assembleur.

Bernard Boyer

Ingénieur électronicien. A travaillé entre 2003 et 2004 sur le simulateur de la boîte à vannes de la DCE.

Thierry Cabanel

Technicien dans le service Détecteur Instrumentation. A travaillé sur le projet Planck en 2003 sur la construction et le câblage de la première maquette de simulation des cryogénérateurs de Planck.

 Andrea Catalano

Chercheur CNRS recruté en 2011 au LPSC.

Il est spécialiste de l'instrumentation : il a par exemple participer à la sélection des bolomètres qui équipent le plan focal de l'instrument HFI. Il a également modélisé le comportement thermique des bolomètres et leur interaction avec le rayonnement cosmique.

Céline Combet

Chercheure CNRS recrutée en 2014 au LPSC.

Elle a rejoint le LPSC en octobre 2011. Elle travaille sur la correction du CO et sur la correction de la fuite de l'intensité vers la polarisation dans les bolomètres de Planck-HFI.

Barbara Comis

Post-doctorante sur Planck et NIKA. Elle a rejoint le LPSC en janvier 2012.

Etudes et doctorat à Rome. Elle travaille sur la mesure de l'effet SZ dans les filamtents avec Planck

Guillaume Dargaud

Ingénieur informaticien. A rejoint Planck depuis mi-2007 pour prendre la suite de Fabrice Pancher avec Frédéric Melot. Bien que l’essentiel du travail sur la SCE soit achevée, il reste un suivi à assurer lorsque c’est nécessaire.

François-Xavier Désert

Chercheur astronome. Membre de l'IPAG (Institut de Planétologie et d'Astrophysique de Grenoble), il est chercheur associé au LPSC depuis 1999.

Responsable du traitement des données temporelles de Planck-HFI avec Juan Francisco Macías Pérez et Cécile Renault. Responsable du Modèle Instrumental pour la réduction des données Planck-HFI.

Médaille d’argent du CNRS en 2008.

Sujets d’étude : interaction rayonnement fossile/amas de galaxies (effet Sunayev-Zeldovich), poussières interstellaires

Lauranne Fauvet

Doctorante sur Planck depuis octobre 2007 après le M2 PSA (Physique subatomique et astroparticules).
Sujet de thèse : Cosmologie observationnelle avec le satellite Planck : Etude de la polarisation du fond diffus cosmologique et modélisation des émissions d'avant-plan polarisées.
Responsable de thèse : Juan Francisco Macías Pérez.

Damien Girard

Doctorant sur Planck depuis décembre 2007 après le M2 Instrumentation.
Sujet de thèse : Cosmologie observationnelle avec le satellite PLANCK : Extraction du signal astrophysique des données brutes et étude de l'énergie sombre.
Responsable de thèse : Cécile Renault.

Guillaume Hurier

 Thèse de 2009 à 2012

Etude des amas de galaxies avec l'expérience Planck, via l'effet Sunyaev-Zeldovich

Fouad Kharab

Ingénieur informaticien.

Il a rejoint le LPSC en octobre 2010. Il travaille sur l'analyse de données en temps et les simulations associées.

Eric Lagorio

Electronicien

 

Juan Francisco Macías Pérez

Chercheur CNRS avec une formation en astrophysique. Rejoint le groupe Planck au LPSC en octobre 2001.

Sujets d’étude : champ magnétique primordial, modélisation de l’émission galactique polarisée, interaction rayonnement fossile/amas de galaxies, étude des perturbations de la métrique à la sortie de l’inflation.

Responsable du traitement des données temporelles de Planck-HFI avec Cécile Renault et François-Xavier Désert.

Frédéric Melot

Ingénieur informaticien, sur le projet Planck depuis 2004. Réalisations :

installation et configuration d'un EGSE (Electrical Ground System Equipment), système informatique permettant la communication entre le sol et le satellite

création d'une MIB (Mission Information Base), configuration de l'EGSE pour son utilisation avec le Sorption Cooler

installation d'un banc de test complet de simulation depuis l'électronique du Sorption Cooler à l'EGSE au LPSC

participation aux campagnes de test

rédaction de la documentation MIB / EGSE

Maintien (évolution, correction de bug, ...) du logiciel embarqué dans le SCE

écriture du QLA (Quick Look Analysis) du SCE, afin de profiter d'un outil de visualisation plus avancé que celui fourni par l'EGSE pour suivre les données depuis le sol

Participation à la récupération des données et écriture d'un QLA pour l'instrument SREM (instrument installé sur la plupart des satellites permettant de recueillir les taux de particules le percutant)

Myriam Migliore

Ingénieur instrumentation. Activité de quelques mois sur l’assurance qualité en 2003 pour la DCE.

Software: Microsoft Office

Fabrice Pancher

Ingénieur informaticien. Il rejoint le projet en 1999. Chargé de la définition, du développement et de l'écriture du logiciel embarqué du SCE, il a participé à toutes les campagnes de test fonctionnels au JPL (NASA). Il a élaboré les documents techniques qui concernent ce logiciel et a assuré le suivi de cette activité jusqu'à son départ du laboratoire fin 2007.

Laurence Perotto

Chercheuse CNRS avec formation en physique des particule et cosmologie. Rejoint le groupe Planck au LPSC en octobre 2008.

Participe au pré-processing des données de Planck-HFI : déprojection des cartes, erreurs systématiques.
Sujet d’étude : distorsion du rayonnement fossile par effet de lentille gravitationnelle. Création d’outils de détection et de reconstruction de ces distorsions pour mesurer leur impact. Contraintes sur la masse des neutrinos avec les données de Planck.

Nicolas Ponthieu

Chercheur astronome. Membre de l'IPAG (Institut de Planétologie et d'Astrophysique de Grenoble), il est chercheur associé au LPSC depuis 2011.

Il a fait sa thèse au LPSC sur Archeops et est de retour après quelques années à Orsay. Il travaille sur la polarisation et le fond diffus infra-rouge.

Cécile Renault

Chercheuse CNRS avec formation en astrophysique. Rejoint le groupe Planck au LPSC en octobre 2000. Responsable du traitement des données temporelles de Planck-HFI avec Juan Francisco Macías Pérez et François-Xavier Désert.
Sujet d’étude : fond infra-rouge et énergie noire (avec Damien Girard).
Communication grand public (expositions, site web…)

Yoann Sallaz Damaz

Ingénieur informaticien. Rejoint le groupe Planck au LPSC en novembre 2008.

Support informatique pour l'utilisation de l'infrastructure logiciel et plus particulièrement pour ce qui concerne le traitement des données en temps du satellite : correction, d'optimisation, d'implémentation des changements d'architecture des codes.
Collaboration également sur l'implémentation d'algorithme d'analyse de carte du rayonnement fossile dans cette infrastructure.

Lilian Sanselme

 Thèse de 2010 à 2013.

Cosmologie observationnelle avec le satellite Planck : étude d'effets systématiques de l'instrument HFI et de l'ionisation de l'univers.

Software: Microsoft    Office

Daniel Santos

Chercheur CNRS avec une formation en physique nucléaire et astroparticule. Fondateur et chef du groupe Planck au LPSC depuis 1999. Encadrement des réalisations instrumentales (SCE et DCE). Responsable de l’analyse du détecteur de rayonnement cosmique installé sur le satellite Planck pour HFI.

Sujets d’étude : étude des perturbations de la métrique à la sortie de l’inflation (phase de preheating).

Patrick Stassi

Ingénieur instrumentation. Sur le projet depuis 1999, responsable technique de la SCE. Responsable de la mise en place des tests et de l'élaboration de protocoles et des moyens de tests. Interface avec Thales Alenia Space, ESA, NASA, CNES. Responsable Assurance Qualité pour le laboratoire ainsi que responsable de la documentation du projet au LPSC et auteur de la plupart des documents techniques.Responsable logistique et approvisionnement et gestion des composants électroniques. J'ai participé à tous les tests de fonctionnement sur tous les modèles de SCE, au LPSC (Grenoble), chez CRISA (Madrid), au JPL (NASA), chez Thales (Canne), chez Alenia (Turin), au CSL (Liège) et au CSG (Kourou).

Damien Tourrès

Ingénieur électronicien. Sur le projet 2008, il est responsable technique de la partie communication grand public. Il a notamment conçu et réalisé les jeux interactifs (les pupitres ont été construits par Jean-Claude Malacour du service mécanique).

Emmanuelle Vernay

Ingénieur calcul sur le projet entre juillet 2001 et septembre 2003

A travaillé sur le dimensionnement mécanique et thermique. Prédimensionnement du boîtier SCE (20K), élévation de température dans les composants, analyse thermique des boîtiers, influence de la fixation sur les tuyaux d’échange de chaleur. Détermination des fréquences propres des boîtiers. Analyse des dépôt de puissance des câbles.

Christophe Vescovi

Ingénieur électronicien. Sur le projet depuis 1999, responsable technique de la DCE.

SCE : conception des étages analogique et puissance de la carte du SCE, suivi de la fabrication du premier modèle au LPSC, tests au JPL (Jet Propulsion Laboratory, USA).

DCE : étages analogique et puissance (Olivier Bourrion a conçu l’étage numérique). Suivi de la fabrication de cette électronique dans une entreprise qualifiée spatiale. Tests en collaboration avec l’IAS (Institut d’Astrophysique Spatiale) et Air Liquide.

Francis Vezzu

Ingénieur mécanicien.

Conception assistée par ordinateur.

Olivier Zimmermann

Ingénieur instrumentation. Sur le projet depuis 1999.

J'ai travaillé sur les simulateurs locaux (SCE et DCE) et sur le test unitaire du logiciel embarqué SCE.

Quand des morceaux de satellite sont développés dans des pays différents, il est difficile d'intégrer tous ces morceaux pour vérifier qu'ils marchent bien ensemble. Chaque site a donc besoin de simulateurs. Au LPSC, nos simulateurs locaux nous permettent de faire fonctionner les électroniques SCE et DCE comme si elles étaient connectées au vrai satellite d'une part, et aux cryogénérateurs qu'elles pilotent d'autre part. Les simulateurs doivent permettre de produire non seulement le comportement normal du système, mais aussi des évènements anormaux, pour tester sa robustesse. Ils permettent ainsi de valider les systèmes à toutes les étapes de leur développement. Chaque fois qu'une fonctionnalité de l'électronique est ajoutée, une fonctionnalité symétrique est ajoutée au simulateur. Enfin, les simulateurs de satellite nous permettent de piloter les instruments comme si on les pilotait à travers le vrai satellite.

L'activité de test unitaire consiste à valider individuellement le fonctionnement de toutes les parties élémentaires qui forment le logiciel de commande des cryogénérateurs. Il existe d'innombrables causes d'erreurs ou de mauvais fonctionnement d'un logiciel. Certaines erreurs proviennent de la conception, d'autres peuvent être liées à des dysfonctionnement matériels qui surviendront pendant la vie du satellite, d'autres enfin peuvent provenir de petites erreurs de programmation, comme une erreur de calcul qui ne se voit pas et qui un jour, provoque une catastrophe. Quand un logiciel fonctionne pendant plusieurs années, comme celui de Planck, les erreurs ont beaucoup plus de chance de survenir. Le test unitaire permet de produire des logiciels qui font très peu d'erreurs, ou de limiter la gravité de ces erreurs.