SuperB - FTOF
- Détails
- R&D sur la fourniture de Quartz ultras purs.
- R&D lecture de la lumière Cherenkov à l'aide de SiPM
- Conception et réalisation d'un telescope à muon
Contact : Jean-François Muraz
Page de l'expérience SuperB - FTOF
NOY
- Détails
- Caractérisation et tests des photo-détecteurs.
- Conception, élaboration et mise en place sur site de l’ensemble de détection de gerbes atmosphériques.
- Mise en œuvre de la télémétrie 3G et du système d’acquisition provisoire.
Patrick Stassi: Photo détection - Télémetrie
Marc Marton : Conception Détecteur/CAO
Mohammed Chala : Montage Détecteur
Christophe Bernard : Montage Détecteur
Installation des premières stations NOY : LPSC INFO janvier 2011
ICRC 2010 proceeding : NOY, a neutrino observatory network project based on stand alone air shower detector arrays
Auger - Projet site NORD
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Pour le projet du site nord de l’observatoire Pierre Auger (Colorado, USA), le SDI à étudié un nouveau dispositif de photo-détection pour les cuves.
En effet, les détecteurs de surface d’Auger doivent être amenés à fonctionner en continu. Les cuves étant disposées en plein air, les photomultiplicateurs (PM) et l’électronique associée sont donc soumis à d’importantes variations climatiques, (0 à 50° C, humidité). En plus d’une isolation renforcée, il a été préconisé d’utiliser une enceinte étanche qui contiendrait la base du PM et l’électronique associée.
Ceci permettrait à l’ensemble de se présenter sous la forme d’un module senseur compact facilitant les travaux de réparation et de contrôle.
Deux systèmes sont étudiés, basés sur un corps conique en plastique moulé de forme proche de celle utilisée actuellement sur le site Sud pour isoler le PM de la lumière. Le premier comporte une fenêtre d’entrée en plexiglas épousant la surface de la photocathode.
Le deuxième laisse libre cette surface, mais comporte un double joint torique au niveau du col du PM. Dans les deux solutions proposées, les systèmes sont fermés d’un fond métallique sur lequel sera fixée l’électronique.
ALICE EMCAL - Banc Cosmique
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Durant le second semestre 2008, le SDI a pris en charge la conception et la construction du banc de calibration des supermodules du calorimètre électromagnétique d'ALICE. Ce banc de calibration est composé de 16 scintillateurs de grande dimension (1.5 m), disposés dessus et dessous le détecteur, permettant ainsi de signaler et de localiser le passage de muons cosmique à travers le détecteur.
Au total, 14 supermodules ont été calibrés au sein du hall ARIANE au LPSC à l'aide de cet appareillage avec une dispersion de l’ordre de 2 à 3%, nettement inférieure à celle spécifiée dans le cahier des charges initial.
Contact : Jean-François Muraz
Page de l'expérience ALICE EMCAL
ALICE - Geometry Monitoring System
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Le spectromètre à muons est disposé à l'avant du détecteur ALICE et est composé, entre autre, d’un absorbeur hadronique et de 10 plans de chambres à fils regroupées en 5 stations. Ces dernières permettent de reconstruire la trajectoire des muons, courbée par le champ d’un aimant dipolaire. Du fait d'éventuelles déformations et déplacements subis par les structures, une mesure de l'alignement de ces 10 chambres de trajectographie, à mieux que 50 µm dans la direction de courbure des traces, est absolument nécessaire pour atteindre une résolution en masse invariante meilleure que 1%. Le GMS (Geometry Monitoring System) permettra de mesurer cet alignement. Il est constitué de lignes otiques BCAM et PROX dont le nombre et la position ont été déterminés par simulation. Pour permettre de valider ces simulations, les programmes de reconstructions géométriques ainsi que d’étudier, entre autres, les effets sur la dispersion des mesures dues à un gradient thermique, le LPSC a pris en charge l’étude et la réalisation d’un banc de test représentant à l'échelle 1 les demi chambres des stations 6, 7, 8 du spectromètre. Les chambres sont réalisées en profilés d'aluminium. Elles permettent la fixation, dans les 4 coins, des éléments optiques tels qu'ils seront fixés dans l'expérience ALICE. La chambre centrale repose sur des tables motorisées qui permettent de la déplacer d'une valeur connue, que le GMS doit retrouver. La chambre 6 est équipée d'un dispositif chauffant et soufflant permettant d'étudier l'influence thermique des zones actives du détecteur sur la résolution des éléments optiques de mesure. Le SDI a pris en charge :
La campagne de mesure, à laquelle le service a participé activement s'est déroulée de janvier à juin 2006.
Contact : Jean-François Muraz
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ECRINS
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Dans le cadre de l’activité pédagogique vers les lycées (ECRINS), le SDI a développé deux ensembles compacts de détection de rayons cosmiques baptisés « Mini ECRINS ». Ces systèmes sont constitués chacun de deux scintillateurs plastiques, associés à deux photomultiplicateurs alimentés par un dispositif sur batteries. L’acquisition des signaux est assurée par un mini oscilloscope USB (PicoScope®) piloté par un programme LabVIEW dédié. Si on utilise un ordinateur portable, ces ensembles deviennent complètement autonomes et transportables dans une valise appropriée.
Ces dispositifs sont des réalisations du SDI, non seulement de par leur conception et leur fabrication, mais aussi de par leur utilisation dans le cadre d’activités pédagogiques en 2007 comme l’exposition sur la physique au lycée St Ambroise à Chambéry et la participation aux Olympiades de la Physique 2007 avec le lycée Pierre et Marie Curie de Grenoble.
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